Le RIIRS est un organisme sans but lucratif fondé en 1992, avec l'aide de la FIQ, pour répondre à un besoin de regroupement exprimé par les infirmières retraitées.
Depuis octobre 2006, les infirmières
auxiliaires, les inhalothérapeutes et les perfusionnistes cliniques peuvent adhérer au RIIRS.
Orientées vers la défense des droits des aînés, les actions du RIIRS visent à faire entendre la voix de ses 11 000 membres.
Le RIIRS offre à ses membre une vie régionale et provinciale permettant d'accroître le sentiment d'appartenance et de vie active.
Le RIIRS travaille pour vous.
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des sujets importants
D’ici 2030, une personne sur quatre aura 65 ans et plus. Dans ce contexte, le vieillissement de la population représente un défi autant qu’une opportunité. La majorité des personnes aînées sont autonomes, actives socialement, participent à l’économie et contribuent à la société. Près de 90 % vivent à domicile et souhaitent y demeurer le plus longtemps possible. Le Québec doit faire preuve d’adaptation face à cette nouvelle réalité.
La progression des conditions de vie des personnes aînées et l’amélioration de leur qualité de vie passent par les différents enjeux liés au vieillissement de la population québécoise : un revenu viable, une vie sociale, un mode de vie sain, des services et du soutien à domicile, un lieu de résidence adaptable et abordable, une mobilité, une image plus juste et positive du vieillissement et le pouvoir de communiquer pour comprendre, décider et choisir.
Par le biais de ce mémoire, le RIIRS suggère des solutions durables et des changements à long terme qui prennent ancrage dans la structure actuelle au bénéfice des personnes aînées dans leur globalité en tant que partie prenante de la société.
L’objectif premier de cette enquête est de collecter des données des membres du RIIRS et de documenter les revenus de retraite et le cumul emploi-retraite. Ultimement, cela nous permettra d’être mieux outillés notamment pour connaître vos besoins, vos défis ou difficultés et ainsi nous permettre de préparer un argumentaire basé sur des données exactes pour défendre vos intérêts. Que vous ayez effectué un retour au travail ou pas, il est important que le plus de membres possible y répondent. Vous pouvez remplir le sondage à l'adresse suivante: https://forms.gle/scpVfk94VikJfyne6
Toute personne, membre du RIIRS peut participer. Bien que votre participation soit volontaire, elle est importante pour que nous puissions recueillir des informations aussi précises et complètes que possible. À cet effet, prenez note que nous assurons la confidentialité et la protection de vos renseignements personnels.
Merci de votre participation!
Le RIIRS réagit au budget 2023-2024
BUDGET 2023-2024 - MI-FIGUE MI-RAISIN POUR LES AÎNÉS
Québec, le 21 mars 2023 – Le Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé (RIIRS) réagit au budget 2023-2024. Intitulé « Un Québec engagé », le gouvernement a déposé un budget mi-figue mi-raisin pour les aînés. Il avait l’occasion de mettre les aînés au premier plan, mais il a raté sa cible.
« Avec le vieillissement de la population, il est plus que temps que les aînés soient priorisés. La pandémie a permis de faire prendre conscience à la population que les aînés ont été les laissés pour compte du gouvernement au cours des dernières décennies. L’amélioration des conditions de vie des personnes aînées se devait d’être une véritable priorité gouvernementale, mais il est passé à côté » affirme Andrée Lamontagne, présidente du RIIRS.
Soins à domicile
Le gouvernement souhaite que les aînés demeurent le plus longtemps à domicile. Il investit 963,5 M$ pour intensifier l’offre de services de soutien à domicile. Ce montant est nettement insuffisant en regard des besoins criants. Le temps d’attente pour avoir accès aux soins a par ailleurs augmenté considérablement au cours des dernières années.
« On ne peut parler d’un virage majeur en faveur du soutien à domicile. Nous parlons plutôt d’une illusion. Le gouvernement parle de réduire la liste d’attente pour un premier service de près de 9000 personnes en 5 ans alors qu’il y a 19 000 personnes en attente. En plus du rattrapage à faire, le nombre de personnes âgées de 75 ans et plus doublera d’ici 20 ans au Québec » ajoute Mme Lamontagne
Le RIIRS reçoit positivement la bonification du crédit d’impôt remboursable pour maintien à domicile des aînés qui viendra soutenir les moins nantis dans le but de bénéficier à moindre coût de services de soutien à domicile, encore faut-il qu’il y ait accès sans liste d’attente.
Sécurité financière
L’accroissement de l’inflation au cours des derniers mois n’a fait qu’exacerber le sentiment d’insécurité des aînés. Il est primordial que les personnes aînées aient accès à une sécurité financière et à des revenus viables. L’aide financière, par un montant ponctuel de 500 $, offerte par le gouvernement du Québec est nettement insuffisante pour contrer les effets de l’inflation et permettre aux aînés de sortir la tête de l’eau.
Le RIIRS salue néanmoins les modifications au Régime des Rentes du Québec en permettant aux aînés de continuer à travailler à temps partiel sans avoir l’obligation de cotiser au RRQ après 65 ans. L’augmentation de l’âge maximal à 72 ans à partir duquel un cotisant peut demander sa rente de retraite est aussi accueillie favorablement puisqu’elle faisait partie de nos demandes.
« La société d’aujourd’hui se doit d’être l’amie des aînés, inclusive et où le dialogue social a toute sa place. Une société où l’environnement est sécuritaire, la santé une priorité pour tous les citoyens sans égards à leur âge, leur origine, leur couleur de peau puisque les enjeux des aînés d’aujourd’hui seront les enjeux des aînés de demain. Le gouvernement a manqué sa cible pour mettre en place des actions concrètes pour redonner aux aînés la place qui leur revient. conclut la présidente du RIIRS, Andrée Lamontagne.
Québec, le 20 octobre 2022 – Le Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé (RIIRS) réagit favorablement face à la composition du Conseil des ministres à l’Assemblée nationale du Québec mais restera alerte quant à la défense des différents dossiers touchant les aînés.
« Avec le vieillissement de la population, il est plus que temps que les aînés soient priorisés. La pandémie a permis de faire prendre conscience à la population que les aînés ont été les laissés pour compte du gouvernement au cours des dernières décennies. L’amélioration des conditions de vie des personnes aînées doit être une véritable priorité gouvernementale » affirme Andrée Lamontagne, présidente du RIIRS.
Soins de santé
La qualité des soins de santé est un incontournable, dont le ministre de la Santé, Christian Dubé se doit de prioriser au cours de la prochaine législation. La prévention, les services et soins qui permettront le maintien à domicile, des CHSLD qui disposeront de toutes les ressources nécessaires aux soins et au maintien des conditions de vie de leurs usagers et des ratios sécuritaires en soins de santé pour assurer la sécurité et la qualité des soins des patients devra faire partie des priorités pour le ministre.
Proches aidants
La nouvelle ministre des Aînés, Sonia Bélanger, devra réaliser et développer le plan d’action gouvernemental sur la proche aidance afin que l’on fasse plus que reconnaître l’apport des personnes proches aidantes mais bien adapter le développement des services de santé et de services sociaux à celle-ci. Nous suivrons les développements concernant les maisons des aînés et les CHSLD.
Sécurité financière
L’accroissement de l’inflation au cours des derniers mois n’a fait qu’exacerber le sentiment d’insécurité des aînés. Il est primordial que les personnes aînées aient accès à une sécurité financière et à des revenus viables. L’aide financière de 500 $ offerte par le gouvernement du Québec est nettement insuffisante pour contrer les effets de l’inflation, il faut faire plus et le ministre des Finances, Éric Girard devra mettre la main dans sa poche.
« La société d’aujourd’hui se doit d’être l’amie des aînés, inclusive et où le dialogue social a toute sa place. Une société où l’environnement est sécuritaire, la santé une priorité pour tous les citoyens sans égards à leur âge, leur origine, leur couleur de peau puisque les enjeux des aînés d’aujourd’hui seront les enjeux des aînés de demain. Le gouvernement doit mettre en place des actions concrètes pour redonner aux aînés la place qui leur revient. Le RIIRS sera présent dans cet idéal et espère être toujours un collaborateur actif des porteurs de changements. » déclare la présidente du RIIRS, Andrée Lamontagne.
À propos du Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé
Le Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé représente près de 11 000 membres à travers le Québec, soit des infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes cliniques retraitées. Leur mission est de donner une voix collective à ses membres pour défendre les droits et intérêts des retraitées.
Québec, le 2 septembre 2022 – Le Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé (RIIRS) dresse la liste de ses demandes auprès des partis politiques qui formeront le prochain gouvernement à l’Assemblée nationale du Québec.
« Avec le vieillissement de la population, il est plus que temps que les aînés soient priorisés. La pandémie a permis de faire prendre conscience à la population que les aînés ont été les laissés pour compte des gouvernements au cours des dernières décennies. » affirme Andrée Lamontagne, présidente du RIIRS.
Soins de santé
La qualité des soins de santé est un incontournable. Le prochain gouvernement se doit de prioriser la prévention afin d’agir en amont. Des services et soins qui permettront le maintien à domicile pour assurer la dignité et la sécurité des personnes aînées tout en respectant le droit de chacun de vivre et de vieillir là où il le souhaite, le plus longtemps possible. Des CHSLD autonomes qui disposeront de toutes les ressources nécessaires aux soins et au maintien des conditions de vie de leurs usagers. Enfin, des ratios sécuritaires en soins de santé pour assurer la sécurité et la qualité des soins des patients.
Sécurité financière
L’accroissement de l’inflation au cours des derniers mois n’a fait qu’exacerber le sentiment d’insécurité des aînés. Il est primordial que les personnes aînées aient accès à une sécurité financière et à des revenus viables. L’aide financière de 500 $ offerte par le gouvernement du Québec est nettement insuffisante pour contrer les effets de l’inflation, il faut faire plus.
Bientraitance
Dans une société inclusive où les aînées auront une place plus importante, la lutte à la maltraitance et à l’âgisme passera par la formation, l’éducation et le dialogue social. Ces changements de valeurs sociales demandent temps et argent et c’est ce que nous demandons aujourd’hui aux différents partis politiques.
« Et pourquoi pas rêver de plus, d’une société amie des aînés, inclusive, où le dialogue social a toute sa place. Une société où l’environnement est sécuritaire, la santé une priorité pour tous les citoyens sans égards à leur âge, leur origine, leur couleur de peau puisque les enjeux des aînés d’aujourd’hui seront les enjeux des aînés de demain. Les différents partis politiques doivent prendre des engagements fermes et mettre en place des actions concrètes pour redonner aux aînés la place qui leur revient. Le RIIRS sera présent dans cet idéal et espère être toujours un collaborateur actif des porteurs de changements. » déclare la présidente du RIIRS, Andrée Lamontagne
À propos du Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé
Le Regroupement interprofessionnel des intervenantes retraitées des services de santé représente près de 11 000 membres à travers le Québec, soit des infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes cliniques retraitées. Leur mission est de donner une voix collective à ses membres pour défendre les droits et intérêts des retraitées.